Instrument neuf construit en 2024 par la Manufacture d'orgues Thomas, dans l'esprit de l'orgue parisien de la fin du XVIIème siècle. 

Buffet classique à deux corps en chêne. 

Positif de dos à trois tourelles, les grandes à l'extérieur et une petite au centre, entourant deux plates faces diatonique (basses sur les extérieurs). 

Grand orgue à trois tourelles également, la grande au centre, et deux plates faces disposées en tierces (basses au centre). 

Le meuble est garni d'éléments sculptés (claires voies, chapeaux, garnitures,...) 

Console en fenêtre à 3 claviers recouverts d'os pour les naturelles et aux feintes en ébène. 

Tirants de jeux en chêne de section carrée terminés par pommeaux en noyer tourné. 

Tirage de jeux du Positif dans le dos de l'organiste. 

Sommiers à registres traditionnels. 

Au Positif, chromatique avec ravalement d'une octave dans les basses

Au GO et Pédale en gravures intercalées, 2 demi sommiers. 

Récit diatonique, basses au centre. 

Les claviers vont de Do1 à Ré5, au Positif et au GO ils possèdent des feintes brisées sur Do#1 et Ré#1, afin de jouer La0, Sib0, Si0 et Mib1 (le La et le Si sont sur les feintes basses, le Sib et le Mib sur les feintes hautes). La pédale va du La0 au Fa3, et la touche Do#1 tire la même mécanique que le La0 (afin de pouvoir jouer le contre-La comme sur la plupart des instruments baroques français). 

Les jeux concernés par le ravalement sont : les 2 jeux de Pédale, le Cromorne du Positif, les principaux 8, 4 et 2, les mixtures, le Bourdon 8 et les anches au Grand-Orgue. 

Mécanique suspendue. Mécanique suspendue. Abrégé à l'italienne pour les manuels. Mécanique foulante au positif.

Mécanique.

Tempérament sur base de 1/5 de coma.

415Hz à 18°C

Soufflerie composée de 3 soufflets cunéiforme à plusieurs plis, que l'on peut pomper manuellement à l'aide d'un système de cordes et de poulies. 

Tuyauterie neuve, inspiré d'instruments d'époque. Étain et plomb martelé. 

Tuyaux de bois en chêne.