D’après une inscription, l’orgue «a esté fait par Louys Isoré maistre facteur en l’an 1614». Il a été restauré en 1841 par Cavaillé-Coll puis en 1932 par Bossier (installation en tribune et adjonction d'un récit). La Maison Haerpfer-Erman l'a restauré dans l’esprit des instruments classiques français en 1977.

Le buffet principal comprend deux tourelles latérales légèrement arrondies de 5 tuyaux, une tourelle centrale plus haute de 5 tuyaux aussi. Deux petites tourelles en tiers point de 5 tuyaux divisent les plates-faces intermédiaires (4 tuyaux de chaque côté de chacune des tourelles). Le positif est beaucoup plus récent : deux tourelles latérales de 5 tuyaux encadrent une plate-face divisée en trois parties (partie centrale de 5 tuyaux encadrée par deux parties de 3 tuyaux).

En fenêtre. 3 claviers de 56 notes avec les tirants de registres disposés verticalement de chaque côté. Pédalier de 30 notes. Appels par cuillers.

A gravures et à registres. Deux sommiers disposés diatoniquement pour le G.O. Un sommier chromatique avec 9 basses de ravalement pour le positif. Un sommier diatonique pour le récit. Deux demi sommiers disposés diatoniquement pour la pédale.

Mécanique.

Mécanique.

égal

Trois réservoirs à un pli : dans le soubassement, un réservoir primaire et un autre pour la pédale ; un autre réservoir sous le sommier de G.O.

Eléments de tuyauterie ancienne dans la trompette, le cornet, le nazard, la fourniture et le bourdon de G.O. et dans le cromorne du positif.