L'instrument de Jarville a été construit entre 1924 et 1928 par François Didier, l'ancien orgue ayant été transféré à Montauville.

La console, indépendante à l'origine, a été remplacée par Gérard Jourdain en 1984 qui l'a positionnée en fenêtre. La composition a été remaniée à cette occasion.

Le buffet, sans style particulier, est en chêne pour la façade et en sapin pour les parois latérales.

Les tuyaux de façade, tous muets, sont en zinc.

La console, sans portes de fermeture, est récente, entièrement reconstruite par Jourdain. Les claviers sont en sapin avec naturelles plaquées de plastique blanc et feintes en plastique noir.

Les tirants, de section ronde et munis de pommeaux tournés, sont disposés de part et d'autre de la console. Des étiquettes en papier blanc indiquent le nom des jeux.

Les accouplements se font par pédales à accrocher, le tremblant et l'appel d'anches par tirants. L'expression se fait par pédale à bascule.

Les sommiers sont à gravures pour les claviers, diatoniques avec basses aux extrémités. Les deux sommiers du récit sont situés à l'arrière de ceux du grand-orgue, au même niveau.

Les sommiers de pédale, à pistons, sont disposés aux extrémités du soubassement, perpendiculairement à la façade.

Mécanique suspendue. Transmission pneumatique pour la pédale.

Mécanique.

Égal

La = 440 Hz

Le réservoir principal, à deux plis compensés, est situé à l'arrière de l'orgue, sous le clocher. Deux réservoirs régulateurs sont installés dans le soubassement.

La tuyauterie est presque entièrement de Didier, principalement en zinc.