Buffet aux lignes rectilignes, sans aucun ornement, conforme aux canons de l'architecture cistercienne qui environne l'instrument. La figure carrée, symbolique du chiffre 4 régit l’ensemble du buffet d’orgue et évoque une parole de Saint Bernard (fondateur de l’ordre cistercien) : “qu’est-ce  que  Dieu ? Il est  tout à la fois : longueur, largeur, hauteur et profondeur. Ces quatre attributs divins sont l’objet d’autant de contemplations”.   

En raison de sa situation à hauteur d'homme, la montre du Positif de dos est protégée par deux volets lorsque l'instrument n'est pas utilisé.

Console en fenêtre.

Quatre claviers manuels de 61 touches chacun.

Registres par dominos basculants disposés de part et d'autre des claviers.

Un pédalier à l'allemande; concave, de 32 marches.

Combinaisons par champignons et deux pédales à bascule pour l'expression Récit et le Crescendo placées au dessus du pédalier.

Combinateur.

Sommiers de facture traditionnelle, à registres coulissants.

Positif de dos : Un sommier diatonique en V de 61 notes. Plan sonore disposé dans le dos de l'organiste ainsi que sous le podium de la console.

Grand-Orgue : Un sommier diatonique en V de 61 notes. Plan sonore disposé au centre du grand corps, au revers de la façade.

Récit : Un sommier diatonique en V de 61 notes. Plan sonore placé dans la boite expressive, au centre du grand corps, à l'arrière.

Solo : Un sommier diatonique en V de 61 notes. Plan sonore situé au centre du grand corps, au dessus de la tuyauterie du Grand-Orgue. Il s'agit d'un cornet décomposé de 11 rangs dont on peut à volonté sélectionner les harmoniques. Dispositif cher aux compositeurs Jean Guillou et Jean-Louis Florentz. 

Pédale : Deux demi-sommiers de 16 notes chacun disposés dans le grand corps, de chaque côté du buffet. 

Mécanique.

Electrique. Combinateur électronique

égal

440 Hz

4.600 tuyaux.

Matériel homogène, de Daniel Birouste (1997).