Instrument construit par DUCROQUET en 1850. En 1877, il est remanié par Joseph MERKLI N par l’adjonction ou la modification de 12 jeux.

Façade en chêne, avec plafond ajoutés lors de la dernière restauration, de style néo-gothique. 3 tourelles, les deux plus grandes à l’extérieur, encadrent 6 plates-faces. Dessin de l’architecte Alphonse de BAUDOT, réalisé en 1876-77 par le menuisier Fulgence CARRE et le sculpteur Anthime CHAPOT.

Ressemblance avec le buffet de l'orgue de Saint-Thomas à La Flèche.

En chêne, retournée face à la nef, placée en bord de tribune, de même style que le buffet. Plaque du constructeur « Manufacture de grandes orgues J. Merklin Paris Lyon ». Trois claviers de 56 notes plaqués ivoire pour les naturelles, dièses en ébène. Toutefois, aux sommiers il n'y a que 54 notes : les deux touches extrêmes à l'aigu renvoient à l'octave inférieure. Tirants de jeux par bâtons ronds avec porcelaines de couleur, disposés de part et d’autre des claviers. 14 pédales de combinaisons en fer, à accrochage. Expression Récit par bascule placée au centre. Pédalier à l’allemande, parallèle, en chêne

Grand-Orgue : sommiers Ducroquet diatoniques de 54 gravures, en chêne. positif Ducroquet, disposé entre les sommiers G.O. Récit : deux parties :  1 sommier J. MERKLIN diatonique, 54 notes, en chêne, les basses au centre, placé derrière le sommier de Positif. Pédale : 2 sommiers diatoniques en chêne, disposés perpendiculairement à chaque extrémité de l’instrument pour les jeux d’anches et 2 sommiers en chêne diatoniques pour les fonds, placés derrière les sommiers du G.O. ; 27 gravures + complément à 30 notes dans des gravures aveugles

Mécanique Barker. Barker au GO, Récit, Pédale, mécanique directe au positif

Mécanique.

égal

La 440

Deux ventilateurs électriques placés l’un dans le soubassement, l’autre derrière l’instrument