Orgue de François-Joseph Carlier de 1837. Il est quasiment le seul instrument subsistant de F-J Carlier, avec le buffet de l'orgue de Carvin et l'orgue de Gaurain (B)

En deux corps : grand-orgue et positif de dos.

Les buffets sont intégralement en chêne. Millésime sur le positif 1837. 

Sur les buffets sont posées 5 statues : Deux anges jouant du cornet au positif, deux anges jouant de la viole entourant Sainte-Cécile jouant de l'orgue au grand-orgue.

Le positif dispose de deux tourelles plates de trois tuyaux et d'une plate-face en chapeau de gendarme. 

Le grand-orgue dispose de trois tourelles plates de trois tuyaux et de deux plates-faces en chapeau de gendarme. 

Des grappes de raisin en papier mâché décorent les buffets. Le chapeau de gendarme sous la façade du grand-orgue est orné de palmes. 

Console en fenêtre. Les tirants de registre, de section carrée terminés par un pommeau en boule, sont en colonnes de part et d'autre des claviers. 

Placage des naturelles en ivoire et feintes en ébène. 

2 sommiers diatoniques au G-O et 1 sommier chromatique pour le positif, sauf la 1ère octave diatonique 

Mécanique. mécanique suspendue au G-O et foulante au positif

Mécanique.

égal

408 Hz

1 grand soufflet à l'arrière de l'orgue à 1 pli rentrant et 1 pli sortant 

Tuyaux en chêne pour les bourdons, en étoffe pour les tuyaux à bouche, en étain pour la façade et résonateurs en zinc pour les anches. 

La gambe a été ajoutée par Talon en 1922 et remplace un Nasard.