Orgue polyphone de Debierre, installé dans l'église en 1945. Réparations par la maison Barberis en 1983 (changement des boursettes).

Grand coffre en chêne contenant tous les tuyaux et mécanismes, avec des jalousies sur le dessus et le devant pour permettre l’expression.

Un seul clavier transpositeur (56 notes utiles), solidaire du meuble et permettant de transposer une quinte au-dessus ou au-dessous (en galalithe et ébène). Tirants de registre situés au-dessus du clavier (demi-jeux), boutons tournants pour permettre l’établissement d’une combinaison qui est appelée elle-même par un tirant. Pédalier de 2 octaves en tirasse permanente. Octave aiguë appelée par une petite tirette devant le clavier. Expression par genouillère.

A registres.

Mécanique.

Mécanique.

égal

Ventilateur électrique à côté de l’orgue dans une boîte. Présence de deux anciens petits soufflets à main juste derrière le pédalier, en état de fonctionnement. La position du réservoi est indiquée par un repère mobile rouge au-dessus des registres.

Selon le principe des polyphones, les premiers tuyaux possèdent des «clés» qui leur permettent de donner 3 notes (demi-tons conjoints). Présence de zinc dans les basses.