Malgré son apparence désordonnée, cet instrument conserve l'essentiel de sa facture d'origine (5 sommiers et majeure partie de sa tuyauterie).

Maintenant que l'éclairage électrique ne nécessite plus le dégagement de la rose de façade pour la luminosité à l'intérieur de l'édifice, il serait très intéressant de remettre l'instrument dans sa disposition originale connue par le dessin de l'architecte Delor (voir image) et le rapport d'expertise de Vian.

Grand buffet néo-gothique "échancré par le milieu" par Mader. Suppression de la grande tourelle centrale de 12 pieds et rehaussement des deux tourelles latérale (le F de 12' posé à l'intérieur).

Console indépendante fabriquée avec des fournitures de type "Laukhuff". Cartouche A. Dunand.

4 sommiers diatoniques  au grand orgue (1851), 1 sommier chromatique avec ravalement de la 1ère octave (1851).

1 sommier récit (1965)  2 sommiers de pédale type unit diatoniques  (1965)

Dans la partie grave du grand-orgue quelques emprunts le rendent inutilisable.

Au récit la chute de quelques grands tuyaux mal assurés rend l'accord quasi impossible pour de nombreux tuyaux.

Au grand-orgue, les électro-aimants directs étaient trop faibles, après montage, le facteur a dû partiquer une petite soupape dans chaque grande pour vaincre le décollement.

Electrique.

Electro-pneumatique.

Égal

1 réservoir primaire (de type ventre) (1965)

2 grands réservoirs à 1 pli chacun (1965)

La plus grande partie d'origine Jungk (1851), certains jeux déplacés ou en désordre. Voir informations au sujet de chaque jeu dans la composition.