Instrument construit par Louis Debierre en 1894. En 1930, les tractions de l'orgue sont électrifiées. Enfin, la partie instrumentale est reconstruite par Philippe Emeriau (1978-1988) dans une esthétique néo-baroque. Cet orgue sert pour l'accompagnement des différents offices ainsi que lors de concerts et stages d'orgues réguliers.  

Buffet en chêne de Louis Debierre, réalisé dans un style néo-gothique lors de la construction de l'instrument en 1894.

Soubassement panneauté. La façade est plate et comporte deux tourelles plates latérales garnies de 5 tuyaux chacune. Ces dernières encadrent trois plates-faces ogivales identiques de 5 tuyaux chacune, en léger ressaut et surélevées par une frise.

Les deux tourelles sont chacune couronnées par un galbe à crochets surmonté d'un fleuron. Enfin, les plates-faces sont surmontées par une frise crénelée plate.   

Console neuve Emeriau, en fenêtre.

Pédalier à l'allemande.

Tirants de registres de part et d'autre des claviers

A barrage, à registres et à gravures alternées.

Mécanique suspendue.

Mécanique.

Moteur électrique.

Porte-vent en bois.

Soufflet à tables parallèles

Tuyauterie en étain coupée au ton. Basses de Bourdon 16' et 8' en bois. Quelques basses réalisées en zinc.

-Matériel Debierre (1894) modifié par Emeriau entre 1978 et 1988. Coupe au ton, dents grattées, bouches modifiées et ré-harmonisation.

-Matériel neuf d'Emeriau (1978-1988).