L'instrument a été construit pour l'église de la Réconciliation, de Taizé. Il est conçu selon les principes de la facture d'orgue classique française. Les quatre plans sonores correspondent dans leur volume sonore, leur disposition et leur construction, aux instruments construits par Silbermann et par Clicquot.

Buffet sobre en bois clair. Le grand orgue se trouve en haut au centre, la pédale de part et d'autre. Un positf dorsal dissimule la console. Un soubassement (tribune) réalisé par Bernard Aubertin permet de surélever l'instrument. Il contient la soufflerie (soufflet et moteur) ainsi que l'accès aux claviers.

La console en fenêtre regroupe deux claviers de 51 notes (positif et grand-orgue), un clavier de récit de 27 notes (dessus) et un pédalier. Il n'y a pas de tirasses.

Les deux sommiers du grand-orgue sont diatoniques, celui du récit est chromatique. Le sommier du positif est en partie chromatique.

La tuyauterie de pédale repose sur deux sommiers, en contrebas du grand-orgue. perpendiculairement à la façade, dans la tradition classique française.

Mécanique.

Mécanique.

Les deux soufflets cunéiformes sont alimentés par un moteur électrique.  Ils peuvent être actionnés à la  main.

Intégralement d'origine (Jürgen Ahrend)